Notre guide de NOEL déjà disponible

Littérature

Et si pour les fêtes, on (s')offrait un moment pour tourner les pages d’un livre, une à une, et dans cette mesure du temps qui passe, réaliser toute la beauté qui nous entoure. Celle de la nature, si fragile, celle des êtres qui partagent notre quotidien, qu’ils soient familiers ou invisibles ou celle, tragique ou heureuse, de l’histoire, des mythes et des légendes.

28,00

Sous le regard émerveillé de leur fils, ils dansent sur «Mr. Bojangles» de Nina Simone. Leur amour est magique, vertigineux, une fête perpétuelle. Chez eux, il n'y a de place que pour le plaisir, la fantaisie et les amis.

Celle qui donne le ton, qui mène le bal, c'est la mère, feu follet imprévisible et extravagant. C'est elle qui a adopté le quatrième membre de la famille, Mlle Superfétatoire, un grand oiseau exotique qui déambule dans l'appartement. C'est elle qui n'a de cesse de les entraîner dans un tourbillon de poésie et de chimères.

Un jour, pourtant, elle va trop loin. Et père et fils feront tout pour éviter l'inéluctable, pour que la fête continue, coûte que coûte.

L'amour fou n'a jamais si bien porté son nom.


Le hussard sur le toit : avec son allure de comptine, ce titre intrigue. Pourquoi sur le toit ? Qu'a-t-il fallu pour l'amener là ? Rien moins qu'une épidémie de choléra, qui ravage la Provence vers 1830, et les menées révolutionnaires des carbonari piémontais.

Le Hussard est d'abord un roman d'aventures : Angelo Pardi, jeune colonel de hussards exilé en France, est chargé d'une mission mystérieuse. Il veut retrouver Giuseppe, carbonaro comme lui, qui vit à Manosque. Mais le choléra sévit : les routes sont barrées, les villes barricadées, on met les voyageurs en quarantaine, on soupçonne Angelo d'avoir empoisonné les fontaines ! Seul refuge découvert par hasard, les toits de Manosque ! Entre ciel et terre, il observe les agitations funèbres des humains, contemple la splendeur des paysages et devient ami avec un chat. Une nuit, au cours d'une expédition, il rencontre une étonnante et merveilleuse jeune femme. Tous deux feront route ensemble, connaîtront l'amour et le renoncement.


Les Éditions Noir sur Blanc

16,00

Un tramway quitte la ville, dans l’obscurité de la nuit de Noël, pour s’enfoncer dans les périphéries. À chaque arrêt, des précaires de la vie montent à bord. Avec leur lot de misère, de tristesse et de déception, ils se dirigent, silencieux, vers un réveillon où la magie de Noël n’opère plus. Pourtant, dans cette nuit, le cri d’un nouveau-né, abandonné à l’arrière, va tresser un lien magique entre ces voyageurs, et éveiller quelque chose en eux...

Après l’inoubliable Borgo Vecchio, Giosuè Calaciura offre une nouvelle fois une voix à ceux auxquels on ne donne jamais la parole. Ce conte de Noël, véritable hommage à Dickens, nous rend l’urgence, la profondeur et les contradictions de notre temps.

Le Tram de Noël est illustré par Gérard Dubois. Primé depuis des années par American Illustration et Communication Arts, Gérard Dubois collabore avec The New York Times, Time Magazine, GQ, Rolling Stone, The New-Yorker, Le Monde. Postes Canada a émis un timbre pour célébrer son œuvre. L’écrivain Stephen King ou encore le réalisateur Guillermo Del Toro collectionnent ses œuvres.


Les Éditions Noir sur Blanc

Prix Nobel de littérature 2018

Lauréate du prix Nobel de littérature 2018, Olga Tokarczuk nous offre un recueil de nouvelles qui vient confirmer l’étendue de son talent : qu’elle se penche sur les époques passées ou qu’elle s’amuse à imaginer celles du futur, elle a toujours le souci d’éclairer le temps présent et ne se défile devant aucune des questions qui se posent aujourd’hui à nous.

L’esprit d’enfance, le désir d’immortalité, le délire religieux, mais aussi le transhumanisme, le rapport à la nature, la fragilité de la civilisation : sans surenchère dans la dystopie, sans jamais de complaisance dans la noirceur, Olga Tokarczuk nous fait mesurer les espaces infinis de ce qui échappe à notre connaissance. Mais pour cet écrivain qui excelle à découvrir des connexions et des correspondances, le salut réside à n’en pas douter dans les puissances de l’imaginaire et dans l’acceptation par chacun de sa propre étrangeté.

ils en parlent…
« Les dix récits qui composent le recueil bousculent le lecteur et désorganisent son horizon d’attente comme peu de textes contemporains savent le faire. »
Fabrice Colin, Lire

« C’est tout le mérite d’Olga Tokarczuk de ne pas chercher à plaire, mais à inquiéter. »
Astrid de Larminat, Le Figaro littéraire

« Si vous aimez Edgar Allan Poe… vous aimerez Olga Tokarczuk ! »
Marguerite Baux, Elle

« Un recueil de dix textes où la Prix Nobel de littérature 2018 prolonge la tradition du conte bizarre tout en s’emparant de thèmes contemporains tels que l’écologie, la religion, le clonage, les frontières entre l’homme et l’animal, voire le végétal. »
Bernard Quiriny, Lire Magazine littéraire

« Une écriture tendrement dystopique. »
Nicolas Weill, Le Monde des livres